la sup has writtenbien sûr que c'est possible ,un travail de fourmi certes.. "mais il faut cultiver notre jardin"....bruno1 has writtenOuais mais bon, est ce que c'est possible d'inverser le système... C'est juste une question, pas une provoc, j'y connais rien en agriculture, j'arrive juste à faire pousser des "mauvaises" herbes à la présipôté.billiardfrancais has written Le problème maintenant c'est de trouver les graines d...[url=http://kokopelli-semences.fr/telechargement]ici[/url] par exemple
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2) ET VOICI LE TEXTE À LEUR ENVOYER :
Titre : L'article 11 de la loi Biodiversité sur les semences est menacé
(Madame/Monsieur)
Vous avez été saisi par le groupe "Les Républicains" afin d'examiner la constitutionnalité de quatre articles inscrits dans la loi "pour la reconquête de la biodiversité et des paysages".
Parmi ces articles figure l'article 11, qui permet aux associations de vendre des semences appartenant au domaine public (ne faisant donc pas l'objet d'un droit de propriété intellectuelle) aux jardiniers amateurs.
Cet article permet de réhabiliter et de promouvoir auprès des jardiniers amateurs les très nombreuses variétés anciennes de notre domaine public, lesquelles ont été poussées dans l'illégalité par la législation sur le commerce des semences, et de préserver ainsi une biodiversité cultivée qui, comme la FAO en a régulièrement attesté, n'a cessé de s'éroder au cours des 100 dernières années (90% des variétés traditionnellement utilisées par les paysans à l'échelle de la planète ont déjà disparu de nos champs et de nos assiettes).
Les associations dédiées à la protection et à la diffusion de la diversité semencière, à la différence des sociétés commerciales, ne sont pas autorisées par la loi du 1er juillet 1901 à distribuer leurs bénéfices commerciaux à leurs membres. Cela les contraint donc à réinvestir ces bénéfices dans la réalisation de leur objet social, c'est-à-dire dans plus de promotion et de diffusion de la biodiversité.
L'article attaqué sert donc pleinement un objectif de sauvegarde, de réhabilitation et de diffusion de la biodiversité cultivée.
De plus, le statut associatif est accessible à tous. Les dirigeants des sociétés commerciales souhaitant bénéficier des dispositions de l'article 11 pourront, sans difficulté, créer une ou plusieurs associations afin de commercialiser des variétés du domaine public, dès lors qu'ils respecteront les conditions posées par la loi du 1er juillet 1901.
C'est pourquoi je vous demande, en tant que citoyen(ne) et jardinier de ne pas censurer cet article et de me permettre ainsi de m'approvisionner et de cultiver ces graines d'une grande diversité biologique, qui constituent notre bien commun à tous, notre patrimoine national.
Je vous prie de croire, (Madame/Monsieur), en l’assurance de ma très respectueuse considération.
Prénom, Nom
3) VOUS RECEVREZ ENSUITE UN COURRIEL "ANTI-SPAM" VOUS DEMANDANT DE CONFIRMER VOTRE ENVOI
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