Bel effort Joël !!! :D Perso, je suis "sec" niveau inspiration...mais j'espère, pour votre grand malheur que çà va revenir. :)
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perdiac has writtenEt patatrac Voici Perdiac Et patapon Voici Chichon Je suis heureux Je suis content Est revenu l'agneau de Dieu Chantons tous son avènement. Je vais le mettre dans la crêche Entre l'âne et le doux Jésus Mais il faut que je me dépêche Car mon infirmier n'attend plus. A DEMAINGambistorti has written[b]Cercle des poèmes oubliés.[/b]:(Mais non,je n'ai rien oublié Pfffffffff 1)Qui m'aurait dit qu'un jour Qu'on se rencontrerait Le hasard est curieux Il provoque les choses Mais le destin pressé, Un instant prends la prose 2)J'avais cru pouvoir me passer Des conneries sur "RF" déposées Puis à écouter les potes J'ai fini par renoncer De nouveau je me suis repointé De participer aux fausses notes 3)C'est pas toujours tres raccord Souvent meme à coté de la plaque Qui a raison qui a tord On s'en fout on va pas se battre 4)Mes emmerdes je les dépose au bord de la porte J'les reprendrais en sortant,elles seront toujours là Faut donc pas s'enfermer après tout que m'importe De payer une connerie pour des cons comme ça 5)Alors Gambi ne soit pas chagriné Que ton topic paraisse endormi Suffit de temps en temps de le relancer Comme moi sur RF tu as aussi des amis Le gros poète. 1) = le grand Charles 2.3.4.5 Perso,jojo :cool:
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Ravachol has writtenCa doit etre le contre coup du voyage en Népalie,décidément,t'as du mal à t'en remettre,etre aux ras des paquerettes est surement dù aux frequentations des hauts sommets.. ou alors ils t'ont trafiqués tes cigares.. :cool:la sup has writtenBel effort Joël !!! :D Perso, je suis "sec" niveau inspiration...mais j'espère, po...Rien ? Même pas : Adieu Rodez Y a plus de pèze Ils l' ont dans le fion Y a plus d' pognon.
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Gambistorti has writtenQue vais je foutre entre Papajoxet et Astalavista,je te le demande,j'ai pas mérité ça..... :lol:perdiac has writtenEt patatrac Voici Perdiac Et patapon Voici Chichon Je suis heureux Je suis content Est revenu l'agneau de Dieu Chantons tous son avènement. Je vais [u]le mettre dans la crêche[/u] Entre [u]l'âne et le doux Jésus[/u] Mais il faut que je me dépêche Car mon infirmier n'attend plus. A DEMAINGambistorti has written[b]Cercle des poèmes oubliés.[/b]:(Mais non,je n'ai rien oublié Pfffffffff 1)Qui m'aurait dit qu'un jour Qu'on se rencontrerait Le hasard est curieux Il provoque les choses Mais le destin pressé, Un instant prends la prose 2)J'avais cru pouvoir me passer Des conneries sur "RF" déposées Puis à écouter les potes J'ai fini par renoncer De nouveau je me suis repointé De participer aux fausses notes 3)C'est pas toujours tres raccord Souvent meme à coté de la plaque Qui a raison qui a tord On s'en fout on va pas se battre 4)Mes emmerdes je les dépose au bord de la porte J'les reprendrais en sortant,elles seront toujours là Faut donc pas s'enfermer après tout que m'importe De payer une connerie pour des cons comme ça 5)Alors Gambi ne soit pas chagriné Que ton topic paraisse endormi Suffit de temps en temps de le relancer Comme moi sur RF tu as aussi des amis Le gros poète. 1) = le grand Charles 2.3.4.5 Perso,jojo :cool:
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Ravachol has writtenTu sais c'qu'il te dit l'intello freedolin !! hein! :Pperdiac has writtenTu me saoûles Perdiac ! Je causais à La Sup, pas à un intellectuel freedolin !Ravachol has written Rien ? Même pas : Adieu Rodez Y a plus de pèze Ils l' ont da...Ca doit etre le contre coup du voyage en Népalie,décidément,t'as du mal à t'en remettre,etre aux ras des paquerettes est surement dù aux frequentations des hauts sommets.. ou alors ils t'ont trafiqués tes cigares.. :cool:
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Ravachol has writtenJ'ai pas fait langue etrangère,j'ai pas eu le temps,alors cause moi correct,vieux hibou!! :Dperdiac has writtenGute Nacht ?Ravachol has written Tu me saoûles Perdiac ! Je causais à La Sup, pas à un intell...Tu sais c'qu'il te dit l'intello freedolin !! hein! :P
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[b]Le Noël des petits forumistes[/b]
Il fait très froid dehors, venez enfants chéris
Rentrez vite chez moi, venez vous réchauffer
Et surtout soyez sages car notre ami Gambi
Une bien belle histoires va, pour vous déclamer.
Il était un beau jour en Haute Chichonie
Un ogre bien méchant qui aimait la chair tendre
Il rodait dans les bois, pissait sur les taillis
Lorsqu'il sentit soudain une odeur le surprendre.
L'odeur venait de là, ou peut être de là
Qu'importe pensa t-il dans son cerveau bestial
Cette odeur de chair fraîche me transporte de joie
Je vais dans un instant faire un repas frugal.
Les enfants étaient sages, décoraient le sapin
Chantaient de jolies choses, dansait la farandole
Sans savoir que dehors l'ogre aiguisait sa faim,
D'avance il savourait, bien droit sur ces guibolles.
L'ours, je l'ai su après, faisait le Ramadan
Il ne pu de ce fait avaler tous ces mômes
Car il était croyant comme tout musulman
Comme d'autres, cathos et fidèle de Rome.
Ignace se Gambisorty. Poète animalier
[b]Putain c'est bô ça, une histoire qui finit bien, et vous ne dites rien?[/b]
[b]La prochaine fois l'ogre bouffera les enfants, vous l'aurez voulu ![/b]
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Perdiac s'est envolé du toit de sa maison,
Il a volé très haut, à toucher les étoiles
Et puis se souvenant qu'il s'appelait Chichon,
Sans une explication, a retrouvé la toile.
Le forum savourait le calme revenu
La Sup et Ravachol chantaient ces jours bénis
Chichon enfin parti dans un monde inconnu
Nous pourrons disaient t-ils, rester les maître ici.
Leur calcul était faux et ils furent punis,
Car le Chichon futé changea d'identité
Perdiac son nouveau nom est encore plus joli.
Bon retour dans ce monde de jobards syndiqués. (à la CGT)
GUILLAUME DE GAMBISTORTY (frère de Ignace)
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Je suis seul aujourd'hui
Ma bourgeoise est partie
Pour les soldes à Toulon
Me laissant comme un con.
J'ai un gentil voisin
Qui la sort quelquefois
Pour moi c'est un copain
Au caractère droit.
Avec sa superbe auto
Il va encore faire le kékou
Et la Germaine au grand chapeau
M'a acheté un sac de clous.
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[b]AVIS A LA POPULATION[/b]
DE LA PART DU SEIGNEUR GAMBI
NOUS VOUS INFORMONS
DE LA REPRISE DU FORUM POESIE
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Le Prout ( Pompé sur le net )
Un jeune prout s’éprend d’une injuste rafale
Aimant la chair fragile et de souples cheveux ;
Un moment ! sur la voie ouverte et triomphale
Le pet naïf s’élance et se perd en aveux
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arnaud anguera has writtenLe Prout ( Pompé sur le net ) Un jeune prout s’éprend d’une injuste rafale Aimant la chair fragile e...[b]Moralité. [/b] [b]SAUVE QUI PEuT[/b]
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.[b]LIVINHAC[/b]
[b]Coin de terre enchanté, perdu comme un sourire.
Parmi l'entassement tourmenté de nos monts,
Toi, la fraîche oasis, le joyau des vallons,
O Livinhac, je t'aime et je veux te le dire.[/b]
[b]Car n 'est tu pas dis moi, l'Eden délicieux
Ou mon âme d'enfant, en s'ouvrant à la vie,
Modula tendrement sa première harmonie,
Son hymne au créateur, à la lumière, aux cieux...[/b]
[b]Je vois encor le bourg coquettement posé
Comme une ruche ardente au dessus de la plaine,
Le clocher le domine et sa flêche hautaine
Jette sur l'horizon son profil ardoisé...[/b]
[b]En bas, la plaine étend sa grasse alluvion
Foyer d'activité de tout un petit monde,
Grenier ou chacun puise et nourrice féconde
Qui fait verdir la plaine et jaunir la moisson.[/b]
[b]Cependant qu'à son pied, comme un Dieu qui sommeille,
Le Lot, calme et profond, roule en ses bords cachés
Sous les longs peupliers et les saules penchés,
Ses eaux vers le couchant que le soir ensoleille.[/b]
[b]Les collines là bas, où la voix du torrent
S'élève en mugissant, des gorges évasées
Dressent leurs flancs abrupts et leurs crêtes boisées
Et bornent l'horizon au seuil de l'Occident[/b]
[b]Livinhac 1906... Poème de Achille ALFARIC ..[/b]
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la sup has written.[b]LIVINHAC[/b] [b]Coin de terre enchanté, perdu comme un sourire. Parmi l'entassement tourmenté de...[b]C'est beau. J'apprécie, bravo [/b]
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Dans cet hiver froideux Chichon s'en est parti
Parait-il qu'on l'a vu, marchant sur Compostelle
Ses proches pleurent, à genoux d'autres prient
Il va par les sentiers, les chemins et venelles.
Sa besace alourdie par ses nombreux péchés
Qu'il compte présenter à la vierge Marie
Mais le sac est trop lourd, il a trop blasphémé
Et Marie lui a dit, revenez cher ami.
Chichon est reparti sur la route basquiste
Et de triste retour, et en mine attérée
Il s'en est revenu en Basquie l'âme triste.
Chichon remplis ton sac, il faut recommencer.
Archevêque Ignace de Gambistorty
Futur pape
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aiguille has writtenMerci...la sup has written.[b]LIVINHAC[/b] [b]Coin de terre enchanté, perdu comme un sourire. Parmi l'entass...Magnifique. Merci La Sup Si c'était du Xixon il l'aurait appelé [b]Divin Hac[/b] Et Claude devrait le lire à ses élèves. Coin de terre enchanté, perdu comme un sourire Parmi l’entassement tourmenté de nos monts Toi, la fraîche oasis, la perle des vallons O Livinhac, je t’aime et je veux te le dire Car n’es-tu pas dis –moi, l’Eden délicieux Où mon âme d’enfant en s’ouvrant à la vie Modula tendrement sa première harmonie Son hymne au créateur, à la lumière, aux cieux Tu formais à mes yeux, une patrie, un monde Je croyais que le ciel pesait sur tes coteaux J’ignorais qu’il était, ville, mont et cours d’eau Par de là les remparts de la conque profonde J’étais insouciant, folâtre, un peu rêveur Aimant déjà les bois, les sources, la verdure Harmonisant en moi, la voix de la nature Porté vers l’avenir dans un rêve berceur Depuis, j’ai déserté ton sol et ton village Triste et frêle jouet des caprices du sort J’ai dû comme un pilote arraché de son bord Lutter contre les flots dans l’horreur du naufrage J’ai vécu loin de toi, les jours de l’exilé Le front chargé d’ennui et de mélancolie Et, par moment le cœur plein de ta nostalgie En secret, j’ai pleuré le bonheur envolé Mais dans le flot pressé de la foule anonyme Malgré l’énervement et le bruit des cités J’ai conservé toujours vivant à mes cotés Ton charmant souvenir comme un trésor intime Je vois encore le bourg coquettement posé Comme une ruche ardente au dessus de la plaine Le clocher le domine et sa flèche hautaine Jette sur l’horizon, son profil ardoisé Tout autour les vergers, simulent un bocage Ou le printemps rieur avec ses doigts fleuris Mêle le rose au blanc, brouille les coloris Et d’un site réel, semble faire un mirage En bas la plaine étend son lit d’alluvions Foyer d’activité de tout un petit monde Grenier où chacun puise et nourrice féconde Qui fait verdir les prés et mourir la moisson Cependant qu’à ses pieds, comme un dieu qui sommeille Le Lot calme et profond roule en ses bords cachés Sous les longs peupliers et les saules penchés Ses eaux vers le couchant que le soir ensoleille Les collines là-bas où la voix du torrent S’élève en rugissant des gorges évasées Dressent leurs flancs abrupts et leurs crêtes boisées Qui bornent l’horizon au seuil de l’occident Plus prés sur les coteaux sillonnés de ravins La vigne tord gaiement ses vieux ceps reverdis Où le soleil d’été par les brûlants midi Darde ses chauds rayons sur les grappes divins Et par endroit perchés sur des verts mamelons Où semés au hasard au fond de la vallée Des villages discrets cachent dans la feuillée Leurs vieux murs décrépis ou leurs blanches maisons Heureux ! Vous qui gardez ces lieux où la nature Associe avec art l’aisance et la beauté Heureux si vous savez goûter la volupté D’une existence simple et vide de murmure Car s’il doit à la glèbe accorder sa sueur L’homme des champs du moins connaît l’indépendance Libre quand il lui plait de chanter sa romance De donner son amour et de garder son cœur Tandis qu’à ses cotés, dans le trouble des villes Règnent la vie intense et l’effort enfiévré Il médite à l’écart sous un toit ignoré Pour chaque jour qui naît, de nouvelles idylles Que sont pour lui le luxe et le fracas mondain Le désir de paraître et le besoin de plaire ? De son calme labeur qui pourrait le distraire Et que demande-t-il pourvu qu’il ait son pain ? Il creuse le sillon et jette la semence Attendant que le cours alterné des saisons Mûrisse le raisin, les fruits et les moissons Qu’il confie à la terre et à la providence Trop fortuné mortel qui vit en souverain Dans un cadre idéal parmi les fleurs écloses Son âme communie avec l’âme des choses Et peut voir sans effroi venir le lendemain Il a reçu le don d’un bonheur qui s’ignore Il passe sans désir et s’étend sans regret Comme la fleur des bois qui naît dans le secret Grandit, s’effeuille et meut au retour de l’aurore. Achille Alfaric (02 Décembre 1906)
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Je ne sais pas quoi dire
Bon, je ferme ma bouche
Je ne sais plus écrire
C'est bon, je tape en touche.
Bonne nuit les enfants
Enfilez votre pyjama
Un bisou à maman
Et vite sous les draps
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Puting demain je m'y remet
Ce soir j'suis trop fatigué
Et je vais plonger dans mon lit.
A demain...si je suis en vie
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Aujourd'hui c'est jeudi et je suis ensuqué
Mais demain vendredi c'est promis, je me soigne
La Sup et Ravachol aussi sont dérangés
Et de ces mecs jobards il faut que je m'éloigne.
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[b]AVIS A LA POPULATION[/b]
Le secrétariat de M° GAMBI vous communique que le Maître sera absent du site du 22 Mai jusqu'au 14 Juin.
Les cadeaux et dons sont reçus à son domicile.
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