Arrête ton char...

olivier has writtenNon, tu ne sais rien, tu interprêtes et ce n'est pas vrai que tu [i]n’atteins aucunement l'intégrité...

:)

Ravachol has written

olivier has written

Ravachol has writtenOui mais un muet qui chante avec le langage des signes c' est...

Bon, ok, on peut être aussi de mauvaise foi en comparant l'homosexualité avec des handicaps, or il me semble que ce n'est pas un handicap. D'autre part, les homosexuelles peuvent avoir des enfants, alors que les homosexuels ne peuvent pas, ce qui donne du fil à retordre à ton raisonnement.

Je ne raisonne même pas pour la simple raison qu' on est dans le domaine de l' absurde pur : voir au nom du libéralisme, de l' humanisme ou de je ne sais quel "isme" défendre la doctrime chinoise du plus mauvais maoïsme de la prise en charge des enfants par l' état au détriment des parents géniteurs, c' est plus poilant que de lire Kafka en sanscrit. Quant au rapprochement de l' homosexualité et des Grecs c' est significatif d' une vision hypersuperficielle de l' histoire. Dans les civilisations anciennes, dont évidemment les Grecs, c' est la bisexualité qui prédominait : -hétéro pour la procréation, les femmes jouant avant tout le rôle de mère porteuse. -homo pour resserrer l' ardeur des hommes au combat se voyant dans l' obligation de se battre jusqu' au bout pour défendre leur "conjoint". d' ailleurs Mussolini voulait remettre en vigueur ces vieilles traditions, il suffit de revoir l' histoire du Stade dei Marmori, jouxtant l' Olympico de Rome. Je pense qu' il y a plus d' homophobie à employer le terme lope ou lopette comme on le rencontre souvent sur le forum que de ne pas adhérer au mariage pour tous..........m' enfin :rolleyes:

Alain Schnapp insiste beaucoup sur le rôle de l'homosexualité, en particulier chez les Doriens, les Crétois et les Spartiates. Cette homosexualité a une fonction clairement éducative et met en scène un jeune homme – éromène - et un adulte chargé de son initiation - eraste - : « l'amour hétérosexuel est sous le signe de la réciprocité, alors que l'amour homosexuel est sous celui de la sociabilité ». Elle est acceptée pour le rôle social qu'elle joue. Cette pratique surprenante pour un contemporain de notre civilisation judéo-chrétienne est à placer dans le contexte d'une éducation qui privilégie la dureté, l'aptitude du jeune à survivre dans des conditions difficiles.

Ravachol has written

demi de fermeture has written

Ravachol has written Je ne raisonne même pas pour la simple raison qu' ...

Alain Schnapp insiste beaucoup sur le rôle de l'homosexualité, en particulier chez les Doriens, les Crétois et les Spartiates. Cette homosexualité a une fonction clairement éducative et met en scène un jeune homme – éromène - et un adulte chargé de son initiation - eraste - : « l'amour hétérosexuel est sous le signe de la réciprocité, alors que l'amour homosexuel est sous celui de la sociabilité ». Elle est acceptée pour le rôle social qu'elle joue. Cette pratique surprenante pour un contemporain de notre civilisation judéo-chrétienne est à placer dans le contexte d'une éducation qui privilégie la dureté, l'aptitude du jeune à survivre dans des conditions difficiles.

Je ne connais pas [b]Schnapp ni son associé Bier[/b], mais il suffit de se peler l' intégralité des 2000 pages de l' Alexandre de Eoger Peyrefitte pour se faire une idée assez complète du sujet.

Et leur pote, Picon :D :D :lol: :lol: :lol:

demi de fermeture has written

Ravachol has written

olivier has written Bon, ok, on peut être aussi de mauvaise foi en comparant l'h...

Je ne raisonne même pas pour la simple raison qu' on est dans le domaine de l' absurde pur : voir au nom du libéralisme, de l' humanisme ou de je ne sais quel "isme" défendre la doctrime chinoise du plus mauvais maoïsme de la prise en charge des enfants par l' état au détriment des parents géniteurs, c' est plus poilant que de lire Kafka en sanscrit. Quant au rapprochement de l' homosexualité et des Grecs c' est significatif d' une vision hypersuperficielle de l' histoire. Dans les civilisations anciennes, dont évidemment les Grecs, c' est la bisexualité qui prédominait : -hétéro pour la procréation, les femmes jouant avant tout le rôle de mère porteuse. -homo pour resserrer l' ardeur des hommes au combat se voyant dans l' obligation de se battre jusqu' au bout pour défendre leur "conjoint". d' ailleurs Mussolini voulait remettre en vigueur ces vieilles traditions, il suffit de revoir l' histoire du Stade dei Marmori, jouxtant l' Olympico de Rome. Je pense qu' il y a plus d' homophobie à employer le terme lope ou lopette comme on le rencontre souvent sur le forum que de ne pas adhérer au mariage pour tous..........m' enfin :rolleyes:

Alain Schnapp insiste beaucoup sur le rôle de l'homosexualité, en particulier chez les Doriens, les Crétois et les Spartiates. Cette homosexualité a une fonction clairement éducative et met en scène un jeune homme – éromène - et un adulte chargé de son initiation - eraste - : « l'amour hétérosexuel est sous le signe de la réciprocité, alors que l'amour homosexuel est sous celui de la sociabilité ». Elle est acceptée pour le rôle social qu'elle joue. Cette pratique surprenante pour un contemporain de notre civilisation judéo-chrétienne est à placer dans le contexte d'une éducation qui privilégie la dureté, l'aptitude du jeune à survivre dans des conditions difficiles.

Un éraste mais sans poil dès que le systeme pileux pointait son nez,ça devenait cochon et mal vu ..... d'ou l'expression passe moi l'éphèbe.... :lol:

olivier has written

LOUIS2 has writtenSi on prend l'exemple d'un couple d'homos muets, dans ce cas-là, pas besoin de bat...

Ben non, puisqu'ils veulent faire du chant.

Seront-ils autorisés à adopter des enfants sourds?

[url]http://www.europe1.fr/Politique/Mariage-gay-Guaino-tend-le-debat-1490491/[/url]

Guano complètement à cran depuis mai 2012 et la défaite de son favori, mais c'est bien lui qui mettait cette défaite sur le compte de Buisson trop proche du FN à son goût et viens maintenant draguer cette extrème droite fascisante.