SC PRIVAS "ardecho nazione", petit sujet sur un rugby de caractère

Ange Pastucci has writtenAmis de cette poule 1 qui sent si bon les vallons, le poulet de bresse, la noix et la châtaigne, bon...

Tes interventions sont un régal à lire. J'espere que ta prochaine ne sera pas trop sévère car elle nous concernera un peu. A dimanche Amis de Privas et que le meilleur gagne!

Amis de cette poule 1 qui sent si bon les vallons, le poulet de bresse, la noix et la châtaigne, bonjour! Hier, dans une ambiance frisquette et pour le moins aérée, les tangos avaient à coeur de rectifier leur tir loupé de la semaine dernière chez les voisins grangeois. L'adversaire isérois était peu connu des ardéchois, leur parcours flatteur de la saison dernière dans une autre poule laissait supposer une confrontation solide et âpre. Les ardéchois débutèrent contre un vent fort qui ne les empécha pour autant pas de prendre l'initiative des opérations contre un adversaire peu ambitieux. On nota beaucoup de sérieux et d'application dans toutes les initiatives et après une pénalité, un fort bel essai vint conclure au pied des poteaux, une belle série d'offrandes ovales que les Tangos prenaient grand soin à se partager.En inferiorité numérique, les nuciculteurs (à vos dicos) concédaient une nouvelle pénalité de l'arificier local et permettait un 13/0 de bon augure au temps des citrons. Adossé au vent, les ardéchois ne furent jamais inquiétés par des isérois pourtant solides devant, mais peu dynamiques. Un nouvel essai transformé (qui aurait certainement nécessité un appui vidéo) venait faire enfler le score à 20/0. Du coup, le public décoiffé attendait presque un peu plus des Tangos qui au fil du match perdirent un peu de leur belle organisation et se virent même à leur tour en inferiorité numérique (13 contre 15) suite à des égarements réglementaires ou autres réactions fougeuses d'adolescents. C'est durant cette période que les Jaunes et noirs existèrent un peu plus par quelques "cocottes" dévoilant leur savoir faire et leur potentiel évident. Les ardéchois en bleu de chauffe ne concédèrent aucun point et en rajoutèrent même 3 sur une pénalité pourtant lointaine. Revenu à 15 et dans la partie par la même occasion, les Tangos avaient 5 minutes pour marquer le 3ème essai synonyme de Bonus offensif mais l'arbitre, qui voulait sans doute être rentré pour stade 2, abrégea une rencotre des plus correctes. Les reservistes privadois, dans un match brouillon, on conservé leur invicibilité et tout ce beau monde peut souffler un peu pendant 3 semaines.Les grands éclats de rires, fendant à coup de haches des visages heureux, alternaient avec des refrains de frères de mêlée, et remplissaient d'une ambiance houblonnée, une maison du rugby bien vivante. Je vous enlace. A.P. Libertà.

belle analyse presque flatteuse pour des uzelots auteurs d'un non match... :( j'espère que l'on vous montrera le vrai visage d'Izeaux au match retour ;) vous avez une belle équipe, bien organisée notamment derrière, bonne continuation :cool:

Amis de cette poule 1 qui sent si bon les vallons, le poulet de bresse, la noix et la châtaigne, bonjour! Après une trève de 2 dimanches sans rugby, les tangos se déplacaient en Bresse pour rencontrer Meximieu, dans la joie et la bonne humeur. Cette rencontre ne restera pas dans les annales des uns et des autrs mais certainement dans l'anal des privadois... J'ai, pour principe ici, prit parti de ne parler que du jeu et des joueurs, je ne dérogerais donc point à la règle. Comprend qui veut ! Les Bressans sont une équipe joueuse et vaillante et cela s'arrête là. Hier, les tangos ont livré un match de fonctionnaires timorés, pensant certainement que cela suffirait ou que le collègue du bureau d'à côté ferait le boulot à la place et qu'on en rigolerait à la cantine. Cela ne suffit pas et le boulot ne se fit pas ... J'aimerai vous régaler de bons mots ou vous relater des actions pittoresques mais je ne peux rien vous raconter car il ne s'est rien passé. Les ardéchois purent se nourrir de regrets, vite noyés dans l'insouscience de leur jeunesse... on fêtait encore les 20ans d'un des leurs dans le bus... Et si c'étaient eux qui avaient raison ? A.P. Libertà

Salut mon ami de cette fameuse poule qui sent ........................... De façon général, chaque lundi, quand le sourire balaie ton visage, 20 lignes de bons mots, d'images et la fierté de la préfecture. Mais ce lundi, 10 lignes froides, sobres et l'amertume dans tes propos. Pas d'humour, de joie, de métaphores succulentes. On sent le sourire balayé par les dents qui grincent. Dans le car du retour de notre voyage en haute Loire, comme tous les dimanches, les sms crépitent et les premiers échos de ton match arrivent. Comme je n'ai pas ta responsabilité, ta réserve, nous apprenons qu'en première mondiale, à Meximieu un sosie de Gilbert Montagné ou Ray Charles avait pris le sifflet et qu'à la fin du match se trouvait dans les vestiaires les tubes de pommade qui adoucissent les fameuses "anales" des Tangos. Et hélas sois rassuré. Nous avons aussi cette insouciance, cette légèreté que nous attribuerons sans trop y croire à cette jeunesse. Les anniversaires ne sont plus annuels mais mensuels voir hebdomadaires !!! La licence sportive est trop vite remplacé par la licence IV !! A fa a barba à i suméri si pèrde saòne e tempu !!! pourrais tu penser Mais NON TU CROIS TROP EN L HOMME Et moi je t'enlace, car même ça fut omis.

Amis de cette poule 1 qui sent si bon les vallons, le poulet de bresse, la noix et la châtaigne, bonjour! Hier, par une belle journée d'automne, nos sens ont été servis. Adossés à la baie vitrée, les tangos débutèrent leurs aggapes par quelques mises en bouche délicieuses entrecoupées de quelques déglutitions de nectars chardonnesques de plus haut vol. La suite, balade gastronomique entre Velay et Vivarais, fût un régal, agrémenté par les bonnes nouvelles qui nous arrivaient du stade du lac. La fin du match fut sifflée sur une poire aux morilles caramelisée, poussée par un chocolat aux cèpes. Comme vous avez pu le lire, hier, je n'étais pas au match. Je ne le ferais plus. Je vous enlace fraternellement Libertà A.P. (PS: victoires ardéchoises 29/3 en b et 62/10 en a)

Amis de cette poule 1 qui sent si bon les vallons, le poulet de bresse, la noix et la châtaigne, bonjour! Après quelques jours de silence et remis de mes dernières aggapes, je reprends du service pour vous donner les dernières nouvelles des ardéchois en gogette. Hier, à la porte des Dombes (et après quelques 3 heures de bus), les tangos venaient se jauger, tels Flipper (en dauphin pour les plus jeunes), face au leader de cette poule 1. Les bressans furent pressants dès l'entame et suite à une touche bien captée, une cocotte bien organisée, digne des fameux poulets de la région, vint pondre un oeuf en cuir dans la basse cour privadoise. La transformation manquée solda le score à 5/0. Sans s'affoler, on vit des ardéchois sereins mettre la main sur le ballon, s'organiser, contrer dans l'oeuf les moindres intentions des Pontois et c'est rapidement qu'après un veloce mouvement, un obus ardéchois sur orbite offrit un essai sous les poteau à son proche soutien. 7/5 puis 10/5 et 13/5 après 2 lointaines pénalités privadoises. Le jeu s'équilibra un brin et sur une nouvelle touche proche de la ligne "tango", les jaunes et noirs scoraient, par un nouvel essai une nouvelle fois non bonifié. 13/10 aux fameux citrons qui sont des oranges. La 2ème mi-temps valida la suprématie ardéchoise dans tous les compartiments de jeu et notement leur organisation défensive qui leur permit de récupérer nombre de ballons mal négociés par des bressans certes ambitieux mais un peu trop brouillons hier. Un nouvel essai transformé puis 2 pénalités donnèrent de l'ampleur au score et les Tangos heureux purent lever les bras et souder leurs épaules, de larges sourires fendant leur gueules fourbues, fortes du devoir accompli, respectant leurs adversaires du jour qui auront j'en suis sûr des jours meilleurs. Le rugby permet quelques miracles, en effet, après une reception fort sympathique par nos hôtes dignes, les 3 heures de bus de l'aller se transformèrent en un instant de fraternité, houblonné et musical et c'est presque avec regrets que nous nous dîment : "tiens, on est déjà arrivé " (pas de s à "arrivé" car "on" est la 3ème personne du singulier). Je n'ai pas pour habitude de parler de l'arbitrage mais celui d'hier à été parfait. Ceci ne reste bien entendu que du rugby, le plus important pour nous tous étant de rester libres ou de le devenir pour ceux qui ne le sont pas. Je vous enlace P.A. Libertà

Amis de cette poule 1 qui sent si bon les vallons, le poulet de bresse, la noix et la châtaigne, bonjour! Hier, par une après midi ensoleillée, les tangos recevaient leurs compatriotes du Nord pour le dernier match "aller" de cette poule 1. Forts de leur succès loin de leurs bases chez l'ex-premier les ardéchois de la préfecture ne craigniaient qu'une chose, se prendre les pieds dans le tapis d'une rencontre contre un "mal" classé, en oubliant de mettre tous les ingrédients obligatoires pour se rendre les matches plus faciles, sachant que l'adversaire du jour ne viendrait pas en victime se faire perforer l'échine sans rien dire. On cru être vite rassuré dès la 1ère minute car suite a une touche bien négociée, la cocotte tango s'organisa et vint déposer l'ovale derrière la ligne, sans grande opposition. 7/0. Pensant le chose entendue, les Tangos oubliaient un moment le combat en pensant à utiliser avant de conquérir et les Annonéens, tels l'ours déjà vendu avant d'être mort, revinrent au score par pénalité (7/3) et passèrent même devant par un essai transformé, surprenant les leaders bien statiques.(7/10) Le doute ne dura pas, les Privadois assumèrent petit à petit leur statut et après de nombreux mouvements victorieux (et d'autres avortés par manque de concentration) soufflèrent aux citrons sur un 24/10 somme toute logique. La deuxième mi temps vit la mort de l'ours et fût à sens unique. Au delà d'une domination territoriale exclusive, les tangos se firent beaucoup de passes faces à des nordistes peut-être un peu trop vite résignés. 57/10 pour un final finalement de relativement bonne facture et bonus offensif en prime. Dimanche prochain, c'est chasse au sangliers .... Je vous entoure de fraternité Libertà. A.P.

Oh punaise votre vieille poissonnière.... j'en peux plus, j'ai encore mal à la tête... :o

Amis de cette poule 1 qui sent si bon les vallons, le poulet de bresse, la noix et la châtaigne, bonjour! Hier par une après midi bien froide, les tangos avaient à coeur de commencer les matches "retour" sur le même rythme que les dimanches précédents, c'est à dire "plein pot la gamelle" La venue des isérois de Vif était un bon test car en bon 3 ème de poule ils pouvaient envisager de faire douter le leader ardéchois. Vu la réputation que nos hôtes du jour véhiculent sur notre équipe depuis maintenant un an (en souvenir d'une après midi tourmentée sur la pelouse du lac l'année dernière) on pouvait s'attendre à une battue sanglante aux sangliers (animal mascotte des joueurs du triève). Malgré l'affluence de glands côté visiteurs, il n'en fut rien et on assistat plutôt à une chasse aux étourneaux tant le combat fut inégal. Il y eu certes les 10 premières minutes qui firent espérer aux montagnards une issue agréable mais c'était juste le temps pour les ardéchois sereins de charger leurs fusils et nettoyer les canons. Le jeu tango se mit en place sans tarder, s'appuyant sur une bise qui n'avait rien de douce et on tourna à 24/0à la mi-temps. Même aidés d'Eole, les isérois qui n'avaient de "Vif" que le nom, ne purent rien contre leurs hôtes du jour. 55/0 à le fin du temps réglementaire. Le sanglier empaillé, le contrat rempli, les Tangos pouvaient savourer une trêve méritée avant de penser au printemps 2012... et là c'est une autre histoire. Je profite de cette tribune pour vous souhaiter pleins de bonnes choses pour l'avenir sans oublier que tout ceci n'est rien que du rugby. Pace e salute a tutti Libertà A.P.

Amis de cette poule 1 qui sent si bon les vallons, le poulet de bresse, la noix et la châtaigne, bonjour! Hier, c'était le retour aux choses sérieuses pour des tangos que nous avions laissés conquêrants avant la dinde et autres aggapes de fin d'année. La question était de savoir dans quel état d'esprit le collectif allait rattaquer cette deuxième partie de saison devant nous ammener vers un printemps rugbystique que l'on espère long et plein de joies. Le déplacement chez une valeur sûre de la poule, nos amis du RCVMT (la tour du pin), était idéal pour jauger les 2 groupes; les deux matches aller en Ardèche, bien que victorieux avaient été âprement disputés. Pour le groupe 2, ce fût plus facile que prévu. Le score de 36/14 (bonus offensif à la clé) ne souffrait d'aucune contestation mais le fait principal de ce match fût quand même le prestation remarquable et remarquée du directeur de jeu. Il illumina la rencontre, d'un physique impéccable, certes un peu court sur pattes mais le poitrail fier, le coup de sifflet énergique, toujours sur les points chauds (pas les boulangeries). Dans un pur souci pédagogique, il n'hésita pas a faire souffler 2 joueurs enlacés dans une joute passionnée mais aussi explica que sa modeste expérience de joueur lui permettait de saisir toute les subtilités des joueurs coquins. Equitable ou non, on n'en sait rien mais honnête, j'en suis sûr ... c'était moi. Pour les équipiers premiers, le combat promis par des turripinois sur-motivés par un monsieur au chapeau et au micro plein d'entrain n'eu pas lieu. Le début fût certes un peu chaud mais les verts et noirs confondirent vitesse et précipitation commettant de nombreuses fautes et maldresses. Privas, en leader bien organisé profita de ces aproximations pour scorer d'abord 2 fois sur pénalités puis par un essai validant un temps fort dans l'en-but isérois. Un bon 11/0 à la pause réchauffait les esprit ardéchois dans une ambiance plutôt glaciale. La reprise fût du même accabit (sans "e"),les tangos occupant le camp isérois en contenant leurs assaux désorganisés. Un essai plein d'opportunisme vint même confirmer cette main-mise sur le match. 18/0 à 20 minutes de la fin. Nos hôtes du jour avaient donc 2 solutions: soit baisser définitivement les bras soit au contraire, puiser au fond de leur suplement d'âme pour tenter de renverser une situation compromise. En hommes courageux ils choisirent la deuxième et on vit alors une toute autre équipe iséroise. En 10 minutes et 2 essais le score évolua vers un 18/12 qui mis en doute toutes les certitudes ardéchoises. Les 10 minutes restantes prouverent que les tangos étaient décidement un bon leader,ils se mirent à l'ouvrage à grands coups de placages, de solidarité sans faille le tout dans une lucidité réconfortante. Le score ne changeat plus, les Tangos pouvaient lever les bras et les isérois se mordrent les doigts de n'avoir tout tenter que trop tard. Il y eu bien une histoire de boucher et de veau mais je ne veux pas ici dévoiler de secrets d'alcôve. Le retour fut donc moins long et on pouvait déjà se projeter sur le week end prochain et la rencontre contre nos amis Ardéchois de Guilherand Granges, nos dauphins. je vous enlace Basgi à tutti et Libertà A.P.

Amis de cette poule 1 qui sent si bon les vallons, le poulet de bresse, la noix et la châtaigne, bonjour! Dimanche dernier, c'était le "derby" au stade du Lac entre des Tangos aux commandes de cette poule 1 et les Grangeois, 2èmes et sur une série de 5 matches sans défaites. Nous souhaitions une belle après midi de rugby et ... nous l'avons eu ! Après le match des reservistes qui vit les Rhodaniens l'emporter sur le fil face au leader Privadois (9/8), les équipiers premiers purent se mesurer. Le match fut d'une parfaite correction et l'arbitrage pas trop compliqué vues les intentions de jeu des 2 équipes. Après une pénalité Rouge et Jaune dès l'entame (3/0), le jeu atteint rapidement un niveau très agréable. Les privadois décidés, mirent la main sur le ballon et rectifièrent le score par un essai de coquin poussé par la bande, sur un ballon porté après une belle conquête en touche. Les tangos ne s'arretèrent pas en chemin et doublèrent même la mise après une fort belle action collective conclue également par un frère de mêlée au bout d'une belle course échevelée. Quelques pénalités plus tard, le score était de 17/6 pour des Privadois conquérants dans la plupart des secteurs. De plus, après un dégagement mal orienté des Rhodaniens, un centre local récupéra le ballon, resista au placage et tel Jean-claude Killy dans les années 68, entamma un slalom déroutant qui finit sous les poteaux grangeois, dépités de leur carence défensive. 24/6 aux citrons, le public tango était aux anges (regrettant toutefois le départ sur blessure de Capitaine courage, le genou concassé suite à un choc avec un adversaire coriace), les grangeois un peu moins. On pensait que la machine Tango allait repartir de plus belle mais c'était sans compter le supplement d'âme de nos hôtes du jour et sur la désorganisation collective provoquée par les nombreux changements d'hommes. Le jeu privadois s'appauvrit donc et l'on vit des grangeois décomplexés firent feu de tous bois, démontrant que leur niveau actuel n'était pas usurpé. La deuxième mi-temps se déroula essentiellement dans le camp des joueurs de la prefecture mais l' efficacité des adversaires ne fut pas à la hauteur de leurs espérances. Certes il y eu cette flèche transperçante pour un essai sous les poteaux tangos ramenant le score à 23/13 mais ce fût tout. Les tangos finirent la rencontre en restant bien organisés en défense et ne furent que rarement déséquilibrés sur les bandreilles adverses. On retiendra donc la victoire tango, la parfaite correction et le plaisir de rencontrer des gens qui parlent le même langage. Dimanche c'est les vacances ! Basgi et Libertà A.P.

Amis de cette poule 1 qui sent si bon les vallons, le poulet de bresse, la noix et la châtaigne, bonjour! hier, les Ardéchois oranges quittaient leur terres pour s'en aller écrire une nouvelle fable ... à Fontaine, entre Néron et Vercors. Malgré leur déroute du match aller, les Isérois semblaient depuis en meilleure forme et leur invicibilté à domicile en était une preuve. Un fort vent du sud balayait la pelouse en long et les Bleus de Fontaine (et non de Sassenage pour ceux qui aiment le fromage) choisirent de jouer contre celui-ci au premier round. Ce fut, je pense, une erreur stratégique de leur part. Dès le coup d'envoi les Tangos occupèrent la place, en leader bien organisés et sans être geniaux marquèrent régulièrement, d'abord par l'artificier habituel (6/3) puis par la fougueuse jeunesse (13/3 puis 18/3) et un drop de dinosaure permit aux visiteurs de passer la mi-temps avec 21/6 au tableau d'affichage. Le moral des bleus semblait touché et il restait aux Privadois de gerer leur avance en restant patients et disciplinés face aux assauts un peu désordonnés des banlieusards grenoblois. Dès la reprise on passa à 24/6 puis 31/6 suite a un très bel essai où la vélocité des trois quarts ardéchois vint conclure (par un minot de la crèche) un beau travail de conquête des avants solidaires. La messe était dite et l'essai de Fontaine dans les dernières minutes relevait de l'anecdote.(31/13) Le travail accomplit, les Tangos partirent l'âme légère malgré la défaite 14/12 des reservistes qui se mélangèrent un peu les pinceaux contre une équipe très joueuse. Le retour fut moins long sauf peut-être pour le chauffeur que nous aurions plaisir à ne plus revoir si possible ... Bref, encore un bon Dimanche. En ce retour du printemps, pensez a rester Libres Je vous enlace Basgi et Libertà P.A.

j'attend ton article Mr Ange Pasucci ;)

Amis de cette poule 1 qui sent si bon les vallons, le poulet de bresse, la noix et la châtaigne, bonjour! Cher Richy, me voici. Dans une dernière tentative humide et froide d'un hiver qui se termine, les Tangos se rendaient une nouvelle fois à Izeaux (la première fois fut caduque, le pigeon voyageur annonçant le report du match avait du se perdre entre plateau de Chambaran et gravière de Poliénas ...). L'objectif était de continuer une série victorieuse tout en ménageant quelques guerriers pour les joutes d'Avril, importantes pour le devenir du club. Les joueurs furent ménagés mais de victoire, il n'y en eu pas. Dans des conditions bretonnes, face à des Isorois (!) determinés, les tangos firent le boulot en première mi-temps en remerciant un peu la chance de voir 2 pénalités inratables ratées et un en avant maladroit sur la dernière passe entre 2 jaunes et noirs bien seuls presque dans l'en-but. Une ou deux actions sporadiques oranges et noires ainsi qu'une conquête propre montraient au courageux public que la place de leader des ardéchois pouvait se comprendre, mais rien ne fût marqué avant la pose. La reprise fût Isoroise et, sur un des coups de butoir des Jaunes et noirs, l'ultime rempart ardéchois, tel Roberto Carlos, commit un tacle glissé redhibitoire, sanctionné de Jaune par un arbitre agréable au demeurant. La supériorité numérique profita vite aux nuciculteurs qui, par deux fois, franchirent la ligne ardéchoise pour un 12/0 à une vingtaine de minutes du terme. On pensait que les Ardéchois appliqués mais guère survoltés allaient laisser filer le match mais leur condition physique bien meilleure (sans forfanterie) que celle de leurs adversaires leur autorisa une remontée au score sur un essai collectif (suite a un groupé pénétrant, digne des tortues romaines, relativement long) et on eu put penser à un retour au score si quelques minutes avaient prolongé une rencontre disputé dans un excellent état d'esprit. Il n'en fût rien, les jaune et noirs s'accrochèrent de façon solidaire et leur joie du coup de sifflet final fût méritée et fit plaisir à voir. Les joueurs des 2 camps, fourbus et mouillés pouvaient rentrer aux vestiaire, le boulot accompli. Les reservistes ardéchois, également deans des conditions difficiles, se sont pris les pieds dans le tapis concédant un drop à l'ultime (voire un peu plus) minute. Le retour fut malgré tout agréable et Dimanche prochain marquera ... la fin des vacances! Richy, n'oublies pas de rester libre ! Basgi a tutti et Libertà. A.P.

Merci pour cet article au top. Une petite précision les habitants de Izeaux sont les Uzelots!! Bonne continuation et je reste libre!

Amis de cette poule 1 qui sent si bon les vallons, le poulet de bresse, la noix et la châtaigne, bonjour! Il est peut-être temps que tout ça se termine.... Ou, du moins que les matches prennent une autre saveur. Hier, sous un soleil à faire bander un lézard, l'avant dernier match de poule (dernier de la phase régulière à domicile pour les tangos) pouvait permettre d'assister à une rencontre débridée, sans grand suspens vu que le résultat n'avait aucune importance ni pour les ardéchois, sûrs de leur première place du cômité et des bressans bien calés à leur niveau sans ambitions de qualification ni stress de descente au niveau inférieur. Il n'en fut rien. Il est vrai qu'a manger du caviar tout les jours, un repas de cantine semble bien fade ... et c'est un peu ce que nous ont servi des Tangos empêtrés entre les envies d'une victoire rapide, la peur des cartons, le peur des blessures, la suffisance d'un premier de poule, la fatigue de grosse charges d'entrainement des cycles actuels et l'installation d'une routine pernicieuse que le confort des victoires empilées peut induire. Mais on ne leur en veut pas. Bref, face à des adversaires venus dans un premier temps pour limiter d'éventuels dégats, les fonctionnaires privadois ont fait le boulot pour une victoire 9/3 dans un match soporifique, dont seul les coups de sifflets règlementaires tenaient réveillé un public exigeant. Les visiteurs ne lachèrent jamais, utilisant tout pour brouiller les pistes, ils y parvinrent, tout ce petit monde bien conscient de la mièvre prestation s'énérva et on vit tout ce qu'on ne voudrait plus voir jusqu'à le fin de la saison entre chamailleries, commentaires, faute de pieds, fautes de mains, fautes de vilains ! Finalement tout se termina, ensemble, autour de quelques bières sous un soleil qui ne voulait pas se coucher. Voilà donc un petit dimanche de plus qui nous rapprochent vers la fin du calendrier qui promet d'être plus excitant (et certainement plus compliqué) Les seniors reservistes ont validé également leur ticket pour faire du rab, tout le monde reste dons sur le pont. En attendant, je vous enlace et .....Libertà ! A.P.

Pas d'analyse cette semaine, j'étais curieux de lire le compte rendu du match à grane, bonne chance pour le retour les tangos

Amis des assidus du feuilleton tangos et de leurs aventures ovales, bonjour ! Après un silence de quelques trois semaines, je reviens vers vous pour faire un petit point sur les 2 demi-finales Drômardéchoises,sésame pour la grand'messe Pompidousienne (qui semble avoir autant d'importance pour les chers aficionados de notre région que la dernière corrida de juillet de Pampelune, à croire qu'il 'y a rien après , bref ...) Dimanche 15 Avril, à le piscine municipale de Grâne, les tangos avaient oublié leur brassards et se sont contenté de s'ébrouer,voire de patauger face à de valeureux adversaires, bien décidés à faire couler le favori ou du moins lui faire boire une bonne tasse. ils y parvinrent. Presque du moins. Le vent froid et la bruine nous faisait plutôt penser à une joute bretone et les cornes de brumes ajoutés aux fumigènes rouges et blanc du début de rencontre confortaient cet idée de port breton. Il ne manquaient que les mouettes. Le match fût pauvre, les joueurs des 2 camps besogneux, alternant les maldresses compréhensibles et les quelques intentions timides furent vite freinées par une flaque ou autre glissade candeloresque. La seule série de 3 passes fut au crédit des Grânois en milieu de 2ème mi-temps suite à un ballon récupéré sur un jeu au pied ardéchois approximatif. Le match fût donc équilibré et le score de 3/3 à 10 minutes de la fin était à, mon sens, juste. (les 2 camps ayant raté leur lot de pénalités). Sur deux fautes Orange tardives, le buteur grânois donnait une victoire 9/3 à son équipe, laissant repartir les 2 adversaires du jour, les uns avec une joie bien exprimée et bruyante et les autres avec plein d'incertitudes, se préparant à une semaine difficile. Elle le fût. Entre souvenir de l'année précédente qui nous avait vu nous prendre les pieds dans le tapis au même niveau de compétition contre une équipe supposée plus faible, s'ajouta la perte de joueurs abimés par les bains de boue grânoise et peut être une perte de confiance quant à notre capacité a inverser un score déficitaire de 6 points. Seuls les quelques rayons de soleil annoncés en fin de semaine apportaient un peu de crédit a une issue heureuse pour des perspectives de finale. Hier, au stade du lac, c'était donc l'affluence des grands jours, les supporters des 2 camps avaient pris place dans une tribune presque trop petite. A 5 minutes du coup d'envoi, les deux équipes se croisant sur le chemin de retour aux vestiaires après leur échauffement nous gratifièrent d'un concours de celui qui avait la plus grosse, caricatural et surtout inutile. L'équation était simple pour des Tangos en quête de points, il fallait scorer rapidement pur étouffer le moindre espoir Drômois. Ce fût le contraire et un scénario catastrophe (pour les tangos) se mit enplace: 3/0 puis 6/0 et encore 9/0 pour les Grânois dès les premières 20 minutes, puis 12/3 vers la 30ème. Un essai des tangos sur la première attaque digne de ce nom nettoya un peu la mauvaise entame préféctorale et surtout révéla quelques failles dans la défense Drômoise. La mi-temps permit aux épaules de se ressouder et aux esprit oranges de se remettre en ordre de marche. La deuxième mi-temps fût d'un tout autre calibre et le capital confiance des grânois fût rapidement emietté. La suprématie dans le jeu et dans la condition physique du leader présumé se mit en place. Tout naturellement et avec beaucoup d'application et de solidarité (qui n'est pas l'appanage exclusif du rugby de village) en augmentant le volume de leurs jeu, les Privadois marquèrent 2 nouveaux essais et s'offrirent un capital points suffisant pour penser à la finale. Il y eût certes une réaction rouge et blanche, notement dans l'occupation du terrain dans le dernier 1/4 d'heure mais ce fût un peu trop décousu et approximatif pour déséquilibrer des jeunes Tangos aggressifs en défense. On cru un instant au retour grânois sur une passe au pied pour un ailier isolé mais un retour rageur d'un ardéchois qui ne voulait pas mourir ruina les espoirs rouges et blancs. Pire, sur une attaque précitée par l'énergie du desespoir, une interception Tango-assassine scella l'issue d'une rencontre aux deux visages. A 16h30 sur le pré, il y avait du monde, beacoup de joie, de soulagement et de respect pour un adversaire valeureux d'un côté, larmes de déception mais aussi fierté et sentiment du devoir accompli chez les vaicus qui pourront certes regretter de ne pas avoir su garder leur avantage de points mais aussi être fier d'être arrivé jusqu'à ce niveau de compétition en ayant déjà atteint leur objectif du maintien. Demain s'ouvre une finale, fruit d'une saison de travail mais aussi de sacrifices de certains pas ou trop peu récompensés mais il est des moments qu'il faut savoir vivre, même si tout ça n'est que du rugby, celui d'hier en était un. La soirée fût belle, très belle et comme dirait sirop.... Champagne! Restez libres et Libertà Je vous enlace. A.P.

J'adore !