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Honte à la FFR

ballesteros46 msgpm
sapiac la legende has written
berrichon en folie has writtensalut à tous en parlant de partir la veille l'USM est partie cet après...
voila différence entre une équipe de vrai pro et une équipe qui veux grillé les étapes
Bah oui c'est vrai que le rapport est évident. Il est sur que l'on reconnait la valeur d'une équipe et de ses supporters à leur heure de départ pour ses déplacements. Merci pour cette précision cher sapiac. Et au passage bravo pour votre victoire.

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lionel58649 msgpm
je vous rappel qu'on joue en federale 1 pas en pro d2. quand une equipe y sera elle pourra pavoiser en attendant on doit tous faire nos preuves. Même les "gros" budgets

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sella 3418 msgpm
bertranddenevers manque d'informations, en voici quelques unes; Un jeu prisé par la bonne bourgeoisie parisienne Les contacts avec les clubs britanniques allaient se multiplier après le match à Paris de Rosslyn Park contre le Stade français, en 1892. Les Français adoptèrent les règles de l'International Board en 1894. Le Stade français, alors surnommé l'« Académie du rugby », disputa dix finales et enleva sept titres. Cette domination fut entrecoupée en 1896 par l'Olympique (de Paris), constitué de jeunes gens fortunés qui avaient la coquetterie de venir au terrain en berline attelée de quatre chevaux. Parmi eux figuraient Thierry de Martel et son frère, ainsi que le savant Jean Charcot, , futur explorateur des pôles, Sienkiewicz et les Longchamps. Tous pesaient dans les 90 kg. Les premiers clubs en province L'implantation du rugby en province suivit rapidement. La réputation du Stade bordelais obligea l'U.S.F.S.A. à étendre le championnat de France en 1899 avec une finale opposant le champion de Paris à celui des départements, finale remportée d'ailleurs par les Bordelais. Dix ans durant, le Stade bordelais va dominer la situation, participant onze fois à la finale et la gagnant sept fois, dont six fois contre le Stade français. Le rugby se démocratisait en quittant la bourgeoisie parisienne, passant d'une sociabilité aristocratique à une sociabilité communautaire. Le rugby fut aidé au sud de la Loire par des joueurs et entraîneurs britanniques : Percy Bush à Nantes, le Gallois Roe à Bayonne, Griffiths à Perpignan, Morgan à Bordeaux, Haywards à Tarbes. Toulousains, Bayonnais et Perpignanais furent les trois derniers détenteurs du titre avant la Première Guerre mondiale. Les notables laïques choisissent le rugby La loi sur les associations de 1901 permit aux notables laïques de province de prendre le relais des éducateurs religieux dans l'enseignement du rugby, dont l'État vantait les vertus comme expression d'un courage guerrier et patriotique, en créant les premiers clubs avant la Première Guerre mondiale. Cette dépossession des établissements privés contribua grandement à la propagation de ce sport dans les milieux ruraux et les villes moyennes. Le rugby offrait alors la possibilité d'affronter ses voisins dans une lutte collective fortement identitaire. Dans le Sud-Ouest, les étudiants se mêlaient dès lors aux enseignants laïques, dans une période marquée par les affrontements politiques virulents qui accompagnent la séparation de l'Église et de l'État (1905), aux paysans, aux nobles, voire aux joueurs étrangers venus travailler en France. Le rugby s'est aussi appuyé sur les protestants. Il devint le sport d'une petite bourgeoisie rurale, radical-socialiste, tandis que les patronages catholiques du Nord de la France choisirent plutôt le football. L'entre-deux-guerres profite au Sud-Ouest En 1920, les premiers clubs français, qui dépendaient depuis 1889 de l'Union des sociétés françaises de sports athlétiques, acquirent leur indépendance et fondèrent la Fédération française de rugby. Sous l'égide de celle-ci, les clubs de rugby rayonnèrent dans l'ensemble du Languedoc et atteignirent la région grenobloise, avant de s'implanter de plus en plus au nord de la Loire. Quant au rugby féminin, il est resté marginal. L'implantation dans le Sud-Ouest se confirma : le Stade toulousain fut cinq fois champion de France entre 1922 et 1927, après l'avoir été une première fois en 1912, année où l'équipe termina invaincue, ce qui lui valu son surnom de Vierge rouge. Les matchs étaient suivis par une foule dense et passionnée, trop passionnée souvent, car le désir de voir gagner les équipes locales fit naître un chauvinisme exacerbé. Les équipes n'envisageaient plus que de gagner à tous prix, par tous les moyens. Le truquage et la brutalité deviennent monnaie courante : on se battaient sur les terrains et, hors des terrains, entre spectateurs. Compte tenu des recettes énormes, les joueurs voulurent être payés et l'amateurisme marron s'implanta. Les joueurs bénéficiaient d'avantages : un emploi, un commerce, un appartement… Les équipes, hantées par la crainte de perdre, sacrifiaient l'attaque à la défense. Le jeu devint dur, heurté.

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Easyp141 msgpm
Bonjour à tous, Amis oloronais, ne vous attendez pas à des miracles avec le CNOSF. Car même si celui-çi rend un avis vous donnant raison, cet avis n'est que consultatif, et le FFR peut choisir de ne pas suivre cet avis. Soyez "sport", recevez l USON comme vous savez le faire, et ensuite le terrain parlera...

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